Zoé à Paris

Dichotomie ou antagonisme ?

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(les initiés auront reconnu les créations de Philippe Conticini, grand Maître de la Pâtisserie des rêves)

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La dichotomie, terme de botanique, désigne le mode de division par deux des rameaux et des pédoncules sur la tige. Au sens figuré, on parle de dichotomie pour décrire le raisonnement qui procéde par division de chaque chose, chaque proposition en deux, dont on prend l'une, et divise aussi l'autre en deux, et ainsi de suite.

Quelle serait ici la chose scindée en deux ? Le bien-être ? Sans doute trop conceptuel pour être ainsi tronçonné.

Il me paraît donc plus adapté de parler d'antagonisme, c'est à dire de la résistance que s'opposent deux forces, deux puissances contraires.

L'envie de succomber à la gourmandise, le besoin d'alléger mon enveloppe charnelle (un grand classique féminin...).

Entre les deux mon coeur et mon corps balancent...

Définitions : dictionnaire Littré via mediadico.com
Méthode Dukan en vente sur le site éponyme (perso je ne cautionne pas mais vous faites bien ce que vous voulez)
Pâtisserie des rêves accessible ici

NB : Oui, les photos de gâteau sont nettement plus grandes que la couverture du livre de l'éminent Pierre. N'y voyez aucune adéquation proportionnelle à mon envie de sucre, il s'agit uniquement de lisibilité.

19 mois...

Que je n'avais pas écrit une ligne ici sans pour autant m'être résolue à fermer définitivement ce blog. J'y ai pensé plusieurs fois mais n'ai jamais sauté le pas. Ils doivent être contents chez TypePad d'avoir des clients comme ça, qui paient chaque mois pour le plaisir de conserver une trace affichée de leur glorieux passé littéraire en attendant que de s'y remettre un jour peut-être...

19 mois, c'est 1 mois de moins que Léonard, dont l'arrivée m'aura fait déserter la blogosphère.

19 mois, c'est 17 mois de plus que Mahaut qui pourrait bien m'y faire revenir.

J'ai en effet découvert lors de ce deuxième congé maternité une foule de blogs de jeunes mères aux multiples talents, dont je ne soupçonnais jusqu'à présent pas l'existence (les blogs, bien sûr, les jeunes mères talentueuses, je savais que ça existait, forcément...).

De la couture à la déco, en passant par le tricot, une véritable communauté dans laquelle on s'échange des tutos. Vous les néophytes qui ne connaissiez pas ce raccourci du mot tutoriel, sachez qu'il désigne les patrons de vêtements ou autres babioles à confectionner principalement pour sa marmaille et accessoirement pour ses amis...

Des tutos, donc, mais pas que. On y trouve aussi des idées déco, de bonnes adresses, des liens vers de merveilleuses boutiques pour enfants devant lesquelles se pâme la femme au foyer qui sommeille et parfois se réveille en moi.

Bref.

De jour en jour et de blog en blog, il semblerait que je trouve encore sur cette vaste vitrine internautique de quoi rédiger ici quelques articles extasiés. Ou critiques. C'est selon. Un peu comme le melon. Du très bon ou du très mauvais, mais on a toujours matière à discuter sur la meilleure façon de le choisir.

Si vous ne comprenez pas la phrase précédente, c'est normal, je ne suis moi-même pas très sûre de son sens après relecture. ;-)

Re-bref.

Ici donc, dans les jours ou mois à venir (faut pas non plus vendre la peau de l'ours...), mon avis sur la lessive pour bébés, les poussettes doubles et le mode de garde idéal.

Allez, je rigole, on se détend. Mon avis sur tout ce sur quoi je veux le donner, ça suffira. Sans fil d'Ariane pour le moment. Pour le plaisir comme dirait Herbert. Mouarf, trop drôle. Allez, crache ton clown ma fille, c'est pas tout de blablater, tu as de la peinture à choisir. Et il fait définitivement trop beau pour rester scotché sur son clavier.

Des bises à vous, internautes égarés.

A bientôt.

Zoé

3615 ma vie

On se laisse vite aller à ne rien faire, non ? Tenez, là, au moment où je vous parle, il est 10h45 et je suis en peignoir. Tout juste prête à attaquer un muffin. Alors que j'ai douze mille choses plus excitantes les unes que les autres dans ma "to do list" : acheter des yaourts, passer à la mairie, récupérer des résultats d'analyses, déposer une robe au pressing, des chèques à la banque, du courrier à la poste, bref, du lourd. Du très lourd. Si lourd que chaque jour je remets au lendemain matin ces folles activités. Inutile de vous dire qu'à ce rythme là on n'est pas prêts de manger un gâteau, d'obtenir les documents demandés et de connaître les résultats attendus. Quant à récupérer une robe propre et des sous sur mon compte, les relances consécutives aux lettres non envoyées devraient arriver plus rapidement...

Bon, c'est pas tout, mais j'ai un thé froid qui m'attend, moi.

Coming soon : la suite de mes aventures de ménagère de moins de 50 ans, accrochez-vous, ça risque d'être passionnant... ;-)

No comment...

Mais quel est donc cet amas grossier et informe de plâtre (et/ou de ciment ?).

Et bien figurez-vous qu'il ne s'agit de rien d'autre que du travail d'orfèvre effectué par une entreprise de plomberie dans ma salle de bains. Je suis d'accord avec vous, il faut le voir pour le croire...

Leur devis était plus attrayant que celui des autres sociétés ayant été consultées par mon bien-aimé syndic, est-ce la raison pour laquelle je me retrouve avec un tel résultat ou la faute à pas de chance ?

J’avais une colonne d’évacuation des eaux dont l’aspect était parfaitement normal, hormis un léger problème de jointure non étanche. Lequel était tout de même en attente de résolution depuis près de deux ans, les mots rapidité et copropriété étant rarement associés.

Me voilà aujourd'hui avec une sorte de concrétion calcaire, peu ordinaire en milieu urbain.

Outre le fait que je doute fortement de la pérennité de ce « travail de comblement », je ne souhaite bien évidemment pas qu’il reste en l’état. Et il n’est pas question que je paie un coffrage ou le rattrapage de cette œuvre d’art.

Mon chauffe-eau a qui plus est été abimé lors de l’intervention et présente des traces de coups alors qu’il était neuf. Lorsque j’ai signalé ce point à l’entreprise, il m’a été répondu que cela pouvait arriver, que le changement de la colonne avait été difficile (quand on vous dit que plombier, c'est un métier...) et que cela n’était pas grave car ne touchant pas l’intérieur du chauffe-eau ! Ben voyons. En lettres clignotantes sur mon front, le mot pigeon...

Je ne m’étendrai pas sur le fait que les travaux ont duré trois jours au lieu des 6 heures initialement prévues et nécessité plus de 5 appels de ma part à la société, manifestement incapable de gérer les choses correctement en dépit de la bonne volonté du malheureux plombier s’étant improvisé plâtrier.

Mes préoccupations actuelles sont donc : comment faire pour réparer ces dégâts et faire en sorte que cette partie de ma salle de bains soit de nouveau rapidement présentable ? Qui gère la remise en peinture de la pièce et la fissure du couloir consécutive au défaut d’étanchéité de la colonne ? Autant de questions à ce jour sans réponses que je me devais de vous faire partager.Si vous avez une idée, welcome!

J'ai fait suivre les photos du crime à l'incompétent notoire au responsable du syndic qui gère mon immeuble et attends avec impatience sa proposition, si tant est qu'il soit capable de m'en fournir une.

Je ne manquerai bien évidemment pas de vous tenir informés de la suite de cette passionnante saga... ;-)

NB : plombier à colorier trouvé sur le site Educol.net,  lequel est au plus près de l'actualité et a ainsi ajouté à sa collection de personnalités deux américains dénommés Barack Obama et John McCain (beurk)...

Faudrait qu'on m'explique...

... le concept du panier à linge (à roulettes, SVP) avec libellé "Juste propre".

Un panier à linge, selon l'usage que j'en ai eu jusqu'à ce jour, c'est fait pour déposer les dessus et dessous chics sales en attente de passage à la machine. Un douillet nid de coton (ou strict plastique, c'est selon...) destiné à accueillir les vêtements de la journée avant que de les rafraîchir à coup de lessive, une sorte de sas ménager, un hébergement provisoire, objet de transition, réceptacle de mes habits chéris.

Qu'il conviendrait donc de libellé "A laver" ou bien "Waiting" ou encore "Laundry" comme aperçu dans la sélection de paniers réalisée par Decofinder (pas de bol, celui que j'avais repéré, puisqu'il faut bien l'avouer, oui, je cherche à acheter un panier à linge, celui que j'avais repéré, donc, est invisible sur le site de la marque concernée, Jardin d'Ulysse, laquelle propose au demeurant de forts jolis objets - fin de la parenthèse/digression).

Plus sexy que "Juste Sale" ou pire encore,  "Pas Propre", vous en conviendrez.

Si tant est qu'il faille donner un nom à tout par peur d'oublier la fonction des choses et l'état de leur contenu.

Bref, pour en revenir au sens donné au fameux panier, il semblerait que ma vision ne soit pas universelle (comment est-ce possible ? à l'heure ou j'écris ces lignes je m'interroge encore...). Et que Périgot conçoive une autre destination que la mienne à cet objet. A savoir la mise en attente du linge juste lavé, avant éventuel repassage/pliage et réintégration en dressing, placard, armoire, commode, étagère, etc. CQFD.

Quoi qu'il en soit et indépendamment du fait que je puisse concevoir, au prix d'un effort intellectuel certain, que l'on en ait un autre usage que le mien, je tiens à préciser que je ne comprends pas ce que ce panier fabrique dans la rubrique "Thermal" du site Périgot alors qu'il existe une rubrique "Juste propre". Ben ouais.

PS : à part ça, j'adore les plumeaux de la marque. Ajoutez une présentation ultra design de la version télescopique de l'objet et comprenez qu'il est envisageable que je craque pour l'autruche à défaut d'avoir trouvé mon panier...

Si j'étais graphiste...

Je participerais au concours de création de la boîte collector Kub Or 2008.

Et ce pour plusieurs raisons :

- parce que d'illustres créatifs ont déjà apporté leur talent à ce type d'opération et qu'il n'est certainement pas désagréable de rejoindre un tant soit peu la cour des grands,

- parce que le monstre narcissique et prétentieux qui sommeille en moi (comme en vous, cela va de soi) aimerait bien voir son nom figurer sur les 210 000 boîtes collector qui seront éditées à l'occasion,

- parce que 10 000 euros sont en jeu et que c'est tout de même une jolie somme, que vous saurez sans nul doute utiliser,

- parce que c'est à la soirée organisée en octobre dernier pour les 100 ans de Kub Or que j'ai rencontré mon amoureux et que tous les jours depuis je remercie la marque Maggi - ainsi que Cédric et Adèle, bien entendu... ;-)

Vos seules créations recensées à ce jour sont les inévitables colliers de nouilles de la fête des mères ?
Le mot design vous fait juste penser à une marque de fringues dont le préfixe est Loft ?
On vous dit "brief", vous répondez "kézako ?"
Les mots quadrichromie, dpi, format vectorisé, sonnent à vos oreilles comme autant de curiosités ?

Qu'à cela ne tienne, vous pouvez commenter ou voter !

Toutes les infos qu'il vous faut :

Le brief du concours
Le règlement
L'historique du fameux bouillon Kub Or

Enjoy!

Qui veut gagner une machine à laver Black Collection ?

Bosch, qui plus est ! Du solide ! Au design supra étudié ! Noire laquée, plein de programmes épatants, de la bombe ! D'une valeur de 999.99 euros !

Mais aussi des fers à repasser qui ont de la gueule et vous défroissent une chemise en 2 temps 3 mouvements !

Ou encore 6 mois de repassage à domicile ! Finies les corvées !

Pour participer au tirage au sort, c'est très simple, il vous suffit de vous inscrire ici !

Dans le champ "Blog du parrain", renseignez l'adresse suivante : http://www.zoeaparis.typepad.com (oui, c'est moi le parrain, enfin la marraine, et si vous gagnez, je gagne aussi, elle est pas belle la vie ?)

Le tirage au sort sera effectué le 5 décembre prochain, dépêchez-vous !

Get up, get a coffee!

J'ai eu la joie d'être conviée il y a quelques semaines au lancement de Dolce Gusto, machine nouvelle génération issue d'un heureux mariage entre Madame Krups et Monsieur Nescafé. Et de rapporter chez moi, toute honteuse d'avoir été ainsi gâtée, la bête en question. 30 centimètres de rondeurs et transparences, 14 bars de pression, une petite lumière verte indiquant le OK pour activation, la manette pour envoyer la pression comme au comptoir, bref, du beau matos.

Autant vous le dire tout de suite, j'avais déjà une cafetière. Oui, une cafetière. Vous savez, le truc dans lequel on met un filtre et du café moulu. Mais si, souvenez-vous ! Et cette cafetière me convenait d'autant plus qu'elle occupait un minimum de place tout en ayant le bon goût d'être suffisamment haute pour camoufler un raccord électrique fort inélégant. Dans un immense élan d'altruisme et mûe par le seul désir de contribuer au confort de vie quotidien de mes bien-aimés collègues, je décidai d'apporter la nouvelle au bureau.

C'est ainsi que démarrèrent les "Dolce Gusto test sessions" chez Sarenza ! Vous trouverez ci-dessous un debriefing en règle des impressions à chaud des heureux employés ayant pu découvrir en avant-première la saveur délicate des boissons concoctées grâce au bellissimo percolateur.

Olga, 38 ans, testeuse de capuccino
"Ah ça c'est du café ! Ah ouais ! C'est délicieux, c'est onctueux, y'a rien à dire. Tu vois, ça, j'peux même le boire sans sucre !"

Kaoula, 24 ans, testeuse d'espresso
A mis tellement d'eau qu'elle n'en a rien pensé. S'est juste dit qu'elle avait fait une connerie (ben oui, la machine ne s'arrête pas toute seule...). En tous cas, a trouvé que son café foutu avait malgré tout une bonne odeur.

Guillaume, 38 ans, testeur d'espresso
"Super goût."

Agathe, 31 ans, testeuse de café lungo
Aime tellement ça qu'elle m'a fini la boîte et que j'ai failli pleurer devant le tiroir vide. Me suis consolée avec un Senseo parfumé au liquide vaisselle (oui, ça arrive de mal rincer sa tasse le matin).

Katia, 34 ans et Christophe, 40 ans, testeurs de chococcino
"Hmmmmmmmmmmmmmmm !"

Il ressort clairement de ces différents tests que le résultat boisson est bon. Mes 6 cobayes ont tous apprécié. Et en redemandent !

L'avis de la Chef du blog maintenant ! ;-)

Zoé, 24 ans (Absolument !), testeuse espresso, lungo, capuccino, i tutti quanti
Moi je dis bien pour le goût. Et pour le design. Pas mal également, la pub TV, bien punchy et qui donne envie d'essayer. Par contre, les capsules sont énormes et me laissent une vague sensation de gaspillage. Aussi bien de contenu que d'un point de vue écologique. J'éprouve des scrupules à les jeter après une seule petite utilisation. Et puis 2 capsules pour un capuccino, un chococcino ou un latte machiatto, ça fait beaucoup... D'autant plus quand on sait que les capsules en question ne sont pas recyclables (en tous cas pour le moment et à ma connaissance). Et là forcément, je donne une mauvaise note en matière de respect de l'environnement. Il est grand temps de réfléchir à la conception de machines de ce type qui nous permettront de profiter du plaisir d'un bon café et de ses déclinaisons gourmandes tout en évitant une pollution supplémentaire. A bon entendeur...

Pour plus d'infos, allez faire un tour sur le site dédié.

NB : j'ai cru dans un premier temps que seuls les provinciaux et banlieusards auraient accès aux capsules puisqu'elles sont essentiellement vendues en hyper et supermarché. Lesquels sont rarement dans Paris intra-muros comme tout le monde le sait. Reste la commande sur le web mais les frais de port m'ont freinée. C'est alors que Cédric a volé à mon secours en m'indiquant que je pouvais trouver au Drugstore de quoi me réapprovisionner. Ouf ! En même temps je suis suffisamment paresseuse pour finalement décider de faire mon shopping en ligne... ;-)

Le bilan : pour tous les gourmands non obsédés par le développement durable, Dolce Gusto offre goût et variété aux amateurs de café et chocolat, le tout pour un prix d'acquisition modeste (un peu moins de 130 euros). 

Elle est pas belle ma publi-promo ?

Non, sans rire, je suis assez fière de moi sur ce coup là : le monde entier va enfin savoir quelle fille super sympa je suis (si toutefois ce point était resté inconnu du grand public) ET bénéficier d'un vrai avis objectif sur le sujet (j'ai pas triché, tout le monde a vraiment aimé, aucun argument négatif n'a été dissimulé).

Ciao tutti !

Merci de n'imprimer ce billet qu'en cas de nécessité

Blague impromptue

Que je me devais de vous retranscrire...

En face de moi un vendredi soir, mon ami Xavier, serial beau gosse à ses heures. A sa droite, ma copine Sophie, workaholic arrivée à table avec plus d'une heure de retard pour cause de bouclage impératif de dossier (de la joie de travailler dans la com' et de subir les retards successifs des clients...). Ces deux là ne se sont croisés qu'une fois et ne se connaissent quasiment pas. De verres en boutades arrive donc le moment des questions existentielles et la fameuse "Tu fais quoi dans la vie ?

Lui (à la JR Ewing) :

"Je vends de l'aluminium. Des milliers de tonnes par an. Des milliards de dollars de chiffre d'affaires."

Elle (façon "minute blonde") :

"C'est tout pour des rouleaux ?"

Deux options :

- En dépit de journées de travail harrassantes et d'une fin de semaine particulièrement chargée, notre working girl réussit encore à faire preuve d'un subtil sens du décalage et a soigneusement amené cet exceptionnel trait d'humour ménager.

- Sophie est une fille simple, elle pense avant tout cuisine et vie pratique, sa remarque est spontanée et pragmatique. 

Dans les deux cas, cela nous aura valu un moment de franche poilade. Intervieweuse, interviewé et témoins confondus.

NB : cette retranscription a été soumise à l'accord des intéressés.

Allez, je retourne à mes casseroles ;-)

Have fun!

Il faut bien secouer Orangina, sinon la pulpe reste en bas...

Il ne faut par contre jamais ouvrir une bouteille d'Orangina juste après l'avoir secouée. Pourquoi ? Parce que dans l'Orangina il y a du gaz (enfin je crois). Que le gaz produit des bulles (constaté, sans contrôle d'huissier). Que lesdites les bulles produisent de la mousse (je sais, c'est à peine croyable). Et que la mousse explose hors de la bouteille quand on l'ouvre juste après l'avoir secouée (ça, c'est vérifié).

CQFD.

Non, je ne suis pas blonde, juste un peu fatiguée. ;-)

Bon week-end à tous !